L’ours (en peluche ? pas sûr !) se met à poser des questions sur l’existence : benoît (mais vigilant), atterré par les ans (mais indestructible), il joue les témoins de la vie comme elle, claudique.
IVAN GUERIN autodidacte, auto-assumé, traverse les évidences en y détectant l’insolite, y voit alors les blessures du temps qui passe et de l’homme mal à l’aise dans sa traverse du temps.
Témoin vigilant, il nous apprend à voir le monde à sa manière. Décapante.

Roger BALAVOINE                                                                         

pour l’ours jaune biennale servaville (76) 2006

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One Response

  1. tres interessant, merci

Livre d'Or

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